acte 1 vingt trois aout 2 mil quinze
A tout hâle sa pâle détresse
En la foule que mon regard traverse
Arrachant l'image du tableau, transperse
L'emporte caressant le contour, ivresse
acte 2 16h quarante huit
Ici grand comme des enfants
Epées en mains, poignard entre les dents
Ils se voient portés gagnants
Au combat triomphants
acte trois 17h trois
Là, le sable vierge, vole, voltige
là, le silence est assourdissant, vertige
là, publiquement le ciel s'est détourné, litige
là, à part le scorpion tout se fige
acte 4 dix sept heure 22
Devant ou les yeux se perdent
Ils sont 500 peut être miles attendent
Eteincellant cracheurs de feu, attendent
Nuage grisnoir sous le vent, attendent
acte 5 17 heures 36
Ici, entre deux publicités, un film
Les informations distille des mensonges ultimes
Ici on s'ennuie à mourir ya pas de crimes
La météo d'où que l'on se se place n'est pas unanime
acte six 17 hache 40 7
Les enfants on encore grandis, le courage
A contre courant impliqué mais sans rage
Ils sont là une arme pour message
C'est normal, honneur à cet age
acte 7 18 h 2
La Tour de Peilz cour de récréation
Cool ta console, tu me la prete
Là bas, t'à déjà tué toi sans hésitations
Tu sais faire aut' chose ptete ?
Acte 8 10-8 : 4 6
Au loin s'agite le métal froid de la discipline
L'éclair cinglant... sillage de feu
Puis un autre puis 100 c'est peu
Tout autour le sable rouge et le ciel aussi
acte n'oeuf 19.19.
tu te rends compte je peux plus manger de chocolat
C'est le docteur qui l'a dit, mal à la
Ta la guerre des kmers sur ta console ?
Tu me la prete c'est cool ça me console
acte dont acte 19:25
Oui ça fait mal à la honte de mourir
Ca vous fais pas mal à vous, c'est pire
Ici, mes parents et Dieu regardent
Un feu qui s'éteinds de l'avoir allumé